Quelque part à Charleville, le 1er mai...
Alors que la réforme de la fiscalité des multinationales en négociation au sein de l’OCDE n’est pas de nature à résoudre le problème de l’évasion fiscale des multinationales, les États renoncent aux taxes GAFA nationales sous la pression des États-Unis.
Fin janvier, les 137 pays engagés sous l’égide de l’OCDE dans la négociation d’un accord sur la taxation des multinationales, notamment celles du numérique, se sont mis d’accord pour... aboutir à un accord d’ici la fin de l’année.
Il s’agit d’une réforme a minima, comme le montre l’attitude complice des GAFA : ainsi, Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook affirme aujourd’hui être en faveur de la « réforme fiscale » en cours à l’OCDE même si cela doit conduire son groupe à « payer plus d’impôts » (...)
Après un premier vote à l’Assemblée nationale, avec courte majorité le 23 juillet 2019, sur le projet de loi autorisant la ratification du CETA, ce sont maintenant les sénatrices et les sénateurs qui devront s’exprimer pour adopter ou rejeter le texte dans les prochains mois. La faible majorité des votes à l’Assemblée nationale témoigne du malaise des élu·e·s vis-à-vis d’un accord de commerce et d’investissement qui a été l’objet de nombreuses approximations, omissions et contre-vérités. Rétablissons la vérité en 10 points. Ici
Nous irons droit au but : nous devons recueillir 110 000 euros d’ici la fin décembre si nous voulons atteindre l’équilibre de notre budget en 2019, au vu de toutes les dépenses engagées cette année pour financer notre travail d’éducation populaire et de mobilisation. C’est ce qui nous permettra d’aborder sereinement l’année 2020.
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Réunion publique du comité de défense des hôpitaux de proximité des Ardennes
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On tenait à remercier :- le cinéma Métropolis ;- toutes les personnes qui ont mis du leur pour l'organisation de ces 3 jours ;- les intervenants : Aude Vidal, les membres du Réseau Salariat, notamment Xavier et Alexandre, Rébecca Bourrut, Mathieu Nicolas ;- ceux qui se sont déplacés pour assister aux séances (vous avez été particulièrement nombreux cette année !) ;- ceux qui n'ont pas pu assister à la séance de samedi, faute de places et particulièrement ceux qui avaient un billet (n'hésitez pas d'ailleurs à vous manifester auprès de nous)- ceux qu'on a oubliés...De l'avis général, les films et les échanges étaient intéressants : c'était une édition encore riche de rencontres et d'échanges avec des films d'une grande qualité !
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur les activités des différents intervenants, on vous incite à consulter :- le blog d'Aude Vidal : http://blog.ecologie-politique.eu- le site du Réseau Salariat : http://www.reseau-salariat.info/?lang=fr- des informations sur le "plan Climat" des Crêtes Préardennaises : http://pcet.cretespreardennaises.fr/tepos- des informations sur les "jardins de la Ramée" : https://www.facebook.com/Les-Jardins-de-la-Ramée-365581427133422/ et pour les "allergiques" à Facebook, voici leur adresse mail : lesjardinsdelaramee@outlook.com
À l’occasion d’une réunion des ministres européens de l’énergie, 19 organisations de la société civile, parmi lesquels l’Aitec, Attac France, les Amis de la Terre France ou le CCFD-Terre Solidaire, ont appelé les États membres de l’UE à quitter le Traité de la Charte de l’énergie. Initié dans les années 1990, longtemps laissé dans l’oubli, ce Traité qui regroupe plus d’une cinquantaine d’États, est aujourd’hui utilisé par les multinationales de l’énergie pour attaquer les pouvoirs publics lorsque ces derniers prennent des mesures, notamment en matière de transition énergétique, qui contreviennent à leurs intérêts.
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mercredi 2 octobre 2019
Dès son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron a pris plusieurs mesures qui lui ont valu le surnom de « Président des riches » : la transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) en simple impôt sur la fortune immobilière (IFI) et la création d’un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% sur les revenus du capital (aussi appelé flat tax).
Le gouvernement avait justifié ces mesures en expliquant qu’elles allaient profiter à la relance de l’investissement et de l’emploi, les plus riches réinjectant cette hausse de pouvoir d’achat dans l’économie réelle. Or, de l’aveu même du comité d’évaluation nommé par le gouvernement, ces mesures n’ont pas d’effets positifs sur l’économie.
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