19 novembre 2014
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Transparency France dresse un état des lieux du lobbying en France.
Les pages 23 à 27 du rapport sont accablantes.En gros, les hauts fonctionnaires de Bercy sont plus soucieux de cirer les pompes des banquiers que de servir l'Etat...
Pour la première fois, Transparency International France rend public un état des lieux complet sur le lobbying en France.
A travers une analyse historique, sociopolitique et juridique, cette étude permet de mieux comprendre les raisons des réticences françaises à reconnaître la réalité du lobbying et à prendre des mesures pour l’encadrer.
A travers une analyse historique, sociopolitique et juridique, cette étude permet de mieux comprendre les raisons des réticences françaises à reconnaître la réalité du lobbying et à prendre des mesures pour l’encadrer.
A ce jour, l’encadrement des relations entre décideurs publics et représentants d’intérêts est quasiment inexistant en France, à l’exception notable de l’Assemblée nationale.
Alors que les budgets et moyens consacrés au lobbying sont croissants, que celui-ci intervient à tous les stades des processus de décision et à tous les niveaux (européen, national, local), Transparency France appelle le Gouvernement, les collectivités locales, le Parlement et l’ensemble des lieux de la décision publique à se doter de règles ambitieuses tant à destination des représentants d’intérêts que des décideurs publics.
Ces règles doivent permettre de favoriser la transparence, l’intégrité et l’équité d’accès des acteurs de la société aux décideurs publics et préserver ainsi l’intérêt général.
>> Lire le rapport en français
Alors que les budgets et moyens consacrés au lobbying sont croissants, que celui-ci intervient à tous les stades des processus de décision et à tous les niveaux (européen, national, local), Transparency France appelle le Gouvernement, les collectivités locales, le Parlement et l’ensemble des lieux de la décision publique à se doter de règles ambitieuses tant à destination des représentants d’intérêts que des décideurs publics.
Ces règles doivent permettre de favoriser la transparence, l’intégrité et l’équité d’accès des acteurs de la société aux décideurs publics et préserver ainsi l’intérêt général.
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